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La Marie Team traverse l'Atlantique

14 février 2016

Des nouvelles du Mexique

Bonjour à tous,

Cela fait un moment que nous n'avons rien publié, nous cherchons l'inspiration pour notre prochain sujet ! En attendant, voici quelques photos pour vous faire partager notre étape mexicaine.

On en profite pour vous remercier pour vos commentaires, c'est toujours un plaisir pour nous de vous lire !

 

Hello everybody,

It has been a long time since we haven't take the time to write something, we are looking for a new subject !  Here are some pictures we want to share with you, before we post something else.

Moreover, we want to thank you for your comments, it is still a pleasure to read you !

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Photo 1 : En se ballandant en voiture, on tombe parfois sur des endroits surprenants ! Ici, un ponton dans la réserve de Sian-Kan près de Tulum.

Photo 2 : A Playa del Carmen, le tourisme est en pleine expension. Mais il y a tellement de construction que certains sont laissés à l'abandon.

Photo 3 : Suerte, le chat de l'auberge à Playa del Carmen où nous sommes volontaires actuellement.

Photo 4 : Une rue dans Playa del Carmen.

Photo 5 : A Playa del Carmen toujours, une mangrove avec pleins de bestioles sympathiques, comme des moustiques !

 

Picture 1 : Sometimes, when you are on a car-trip you find some interesting hidden places. We've found a pier in the middle of Sian-Kan reservation near to Tulum.

Picture 2 : In Playa del Carmen, tourism is increasing. But there are too much building, so some are forgotten.

Picture 3 : Here is Suerte, the hostel's cat where we are volunteer.

Picture 4 : A street in Playa del Carmen.

Picture 5 : Still Playa del Carmen, a swamp with a lot of "nice" animas, like mosquitos !

 

 

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29 janvier 2016

L'arrivée au Mexique

 

Depuis le 18/01, nous sommes au Mexique. Nous avons passé deux jours à Cancùn, loin de la zone hôtelière, puis nous avons pris un bus pour Playa Del Carmen. C'est une ville en plein dévelopemment économique, dû au tourisme.

Voilà pour le petit résumé, maitenant place aux images !

 

We arrived in Mexico the 18th of January. We stayed two days in Cancun, far away from "la zona hotelera", then we took a bus to Playa del Carmen. It's a city in big economic development due to tourism.

End of the resume, now some pictures !

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Photo 1 : Sac à dos sur le dos après notre arrivée à Playa del Carmen

Photo 2 : Se baigner c'est bien, mais construire un château c'est mieux

Photo 3 : A bord d'une "ferrari mexicaine", on découvre l'île de Cozumel (dont le récif a été rendu célèbre partout dans le monde sauf en France par Cousteau)

Photo 4 : La découverte de notre première ruine maya au coeur d'un petit village de Cozumel, on s'attendait à plus grand ! :)

Photo 5 : A Tulum, il y a des ruines mayas et pleins de "divas" : iguanes adorant être pris en photo

 

Picture 1 : Backpack in Playa del Carmen

Picture 2 : To swim, it's fun but build a sand castle, it's better

Picture 3 : Driving a "mexican ferrari", we discover the island of Cozumel (the recif is well-know all around the world, thanks to J.Cousteau)

Picture 4 : We discover our first maya ruin, we expected it bigger !

Picture 5 : In Tulum, there are maya ruins and plenty of iguanas. We called them "divas" because they love pictures !

 

 

22 janvier 2016

Salute à vous amis du monde ! Cet article est un

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Salute à vous amis du monde ! Cet article est un beau mélange, on écrit depuis le Mexique sur Vegas, et on commence à traduire en anglais alors qu’on doit se mettre à l’Espagnol !

On a fait comme tout le monde, on a voulu y aller, pour voir. Autant y a des trucs auxquels on s’attendait, autant d’autres nous ont un peu surpris (n’est-on pas dans la ville de la démesure au pays de la démesure comme dirait un bon copain à nous )

Hi to you, friends from the world! This article is a nice mix, we write from Mexico about Vegas, and we start to translate in English while we have to speak Spanish! Sorry for all the mistakes and weird sentences, we’ll improve our writing level little by little…

We made like everybody, we wanted to go to Vegas, just to see. There were some things we expected, but others surprised us a little (we were in the city of excessiveness in the land of excessiveness, as said a good friend)

-        A Vegas tout n’est pas possible, mais il y a des choses invraisemblables à faire : du yoga avec des dauphins (Bellagio), un grand huit autour et dans un casino (New-York/New-York), sauter à l’élastique du plus haut casino (Stratosphère, 120 étages) ou encore admirer des requins ou des flamands roses (Mandala et Flamingo). Tout ça se paye bien entendu, et plutôt cher

-        In Vegas, everything isn’t possible, but there are strange things to do: yoga with dolphins (Bellagio), a roller-coaster in and around a casino (N-Y/N-Y), bungee jumping from the highest casino (Stratosphere, 120 floors) or to admire sharks and flamingos (Mandala and Flamingo). You have to pay for everything, of course and it’s a little bit expensive

-        On ne peut pas se marier sur un coup de tête, les chapelles, nombreuses, vous demandent quand même quelques papiers (même si nous n’avons pas essayé)

-        You can’t decide suddenly to marry someone, even if there are a lot of churches, they ask you some administration stuffs (even a reservation!)(we didn’t try, in fact)

-        L’image qu’on a de Vegas, c’est une rue, une seule. Autour, c’est une ville normale (enfin, une ville normale du Nevada, avec des publicités pour les armes à feux et quelques casinos)

-        The picture we have of Vegas, in our imagination, it’s one street, just one. Around, it’s a normal city (ew, a normal city of Nevada with adds for fire guns and few casinos)

-        Vegas, c’est cheap ! Pas dans le sens ou c’est pas cher, mais on voit bien qu’on est loin du standing de Montecarlo. Les croupiers font pas rêver et les moquettes sont défrichées. Si vous voulez aller au bout du rêve il vous faudra entrer dans les salons où les mises de base avoisinent les 100/200 $

-        Vegas is cheap ! I don’t mean not expensive, but you see you aren’t in Montecarlo. The croupiers (it’s the correct word?) don’t give you dreams, and the carpets aren’t new… If you want more dream you have to go in lounge room and bet 100/200$ at minimum.

-        Les machines à sous électroniques ont pris le pas sur les tapis dans les salles de base. Vous croiserez de nombreux quidam au yeux vitreux qui appuient inlassablement sur la mise de leur choix. Ça ôte le côté suspens …

-        Electronics slot machines substitute bet games. You will meet a lot of people with no light or energy in their eyes, just pushing and pushing the same button to bet.

-        Toutes les fontaines, les canaux vénitiens, etc… sont estampillés comme appartenant au plan de lutte contre la sècheresse qui sévit depuis quelques années en Californie et au Nevada, mais on ne sait pas comment. (pour info, toutes les fontaines et jardins municipaux des autres villes ont fermé leurs robinets)

-        All the fountains, venetian channels, etch... are stamped like “water-less” to fight against the drought of California and Nevada, but we don’t know how!

 

Mais Vegas, c’est drôle à voir, comme une curiosité, et on avouera avoir siroté avec plaisir un cocktail du haut du 109eme étage en contemplant les casinos en contre-bas. On aura dépensé plus d’argent dans les flippers que sur les tables de jeu, mais c’était drôle !

But Vegas, it’s fun to see, like a curiosity, and we admit drunk with pleasure a cocktail from the 109 floor of “Stratosphere”, looking the street with casino cons bellow. We spent more money for flippers than gambling, but it was fun!

Photos: on en a pas pris une seule de Vegas; donc on vous montre nos tetes dans le desert

Pictures: we didn't take even one of Vegas, so we show you our faces in the desert

 

16 janvier 2016

Des photos (bis)

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Comme on est des gens supers, on est forcément belles et photogièniques, et comme ont est intelligentes, on a trouvé plein d'endroits super à visiter; on a donc plein de photos à partager, et ça rentre pas dans un seul article (notre égo non plus,ça tombe bien)

photo 1 : sur le parking de l'hôtel de San Diego, après avoir pris un bain en plein air

photo 2 : tadaa ! même après deux heures de marche, marie est tout sourire

photo 3 : des cupcakes maisons super (super, super, super, ...) bon !

photo 4 : Duel (jeu) au refuge des chiens

photo 5 : El nino est bien là, il pleut à verse dans les rues de San Diego

16 janvier 2016

Des photos et des news (un peu)

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Salut copain du web, ami de l'interface, famille du net!

Comme on sait que tu t'inquiètes pour nous (nous aussi on s'inquiète pour toi, tu sais), on te fait un point d'étape, une fois n'est pas coutume. Après 2 mois en Californie, on a vu un peu de pays, on est descendues de San Fransisco à San Diego en passant par la côte (avec quelques zigzags par-ci par-là). C'était chouette, on a vu plein de beaux paysages et rencontré des gens sympas qui te font oublier que tu es dans la patrie de Donald Trump.

Puis nous avons finalement cédé à la tentation d'être des hors-la-loi : on est finalement passées par Workaway. Cela fait plus d'une semaine que l'on prend soin de 25 toutous rescapés d'abandon, d'accident de la route, etc... La maison et sa popriétaire sont toutes deux très accueillantes : on aurait presque envie de rester là.

Mais lundi très tôt (on dormira dimanche à l'aéroport) on a notre vol pour Cancun. La-bas un autre workaway nous attend, dans un hôtel de backpackers, à Playa de Carmen, affaire à suivre!

Photo 1: un joli canyon avec une jolie fille

Photo 2: les paysages ont changés depuis San Francisco, la végétation n'est plus la même

Photo 3: epuisée par l'effort, l'athlète s'est couchée au second round

Photo 4: Joshua's Tree,àle parc national préféré des enfants, pleins de rochers à escalader!

Photo 5: Une balade course contre la montre contre la nuit, mas on en est sortie vivantes, même en robe

 

 

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5 janvier 2016

La dentition comme marqueur social

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Salut à vous, maintenant qu’on est tous à la même année, on va pouvoir se souhaiter la santé et tout ça. Parlons-en, tiens, de la santé !

La société américaine n’a peut-être pas de castes, mais on peut facilement la diviser en petites cases (c’est d’ailleurs un pays que les statistiques ethniques ne rebutent pas, on nous a déjà demander deux fois de définir notre appartenance au cours de sondage, on a pas encore tenté le « afro-américain » pour rire). On a déjà parlé de la géographie urbaine, on peut aussi le voir grâce à la santé.

Montres moi tes dents, je te dirait qui tu es ! Si vous croyez que les dents en moins, noircies, jaunes sont l’apanage des homeless, détrompez-vous ! Le chicot coûte un bras, et la classe ouvrière a besoin de ses deux mains pour bosser. En quittant les centres urbains on se rend vite compte de la chance qu’on a(vait) en France, les gens qui nous parlent on de sérieux soucis buccaux.

Un autre signe de la politique de santé ? Les offres d’emplois. Mieux que le salaire, mirez notre offre d’assurance santé ! Les fastfood attirent les vocations à grands coups de remboursements dentaires et autres médecins. Oh mais wait !? Les mutuelles proposées par les entreprises en France depuis 2015 ? Oh, les petits cachotiers, ils nous avaient pas dit qu’on s’engageait sur la voie de l’American Dream !

Si l’on poursuit ce chemin, gardez un œil sur les soucis de santé mentaux de vos proches et commencez à mettre de côté. Ici, une grosse partie des gens qui errent, ce sont les malades mentaux. Enfin, pas les riches malades, faut pas non plus exagérer, ils ont des hospices, on est pas dans le tiers-monde ! (Faut avouer que ça limite vachement les fraudes à la sécu, c’est sûr)

Le truc super cool, c’est que même si le médecin coûte cher (entre 100 et 200$ pour ce qu’on a pu voir), ce n’est pas une nécessité d’aller le voir. Vous avez le choix pour l’auto-médiation : les supermarchés ont un rayon médicaments et il existe des supermarchés de médicaments (si avec ça vous n’allez pas mieux !). Heureusement, en France, notre ami Leclerc milite pour la fin de cette injustice sur notre territoire.

Que le médicament devient enfin un produit de consommation comme les autres ! Histoire que la santé suive, dans quelques années. Sous les hourras des consommateurs libres.

photos: en même temps, comment garder la santé et la ligne avec ça?

3 janvier 2016

Les gens

Salut à tous, et joyeux Noël, ô lecteurs (oui, ça fait un moment qu'on doit poster cet article) !

Comme c’est la période des bons sentiments, tout ça, on va en profiter pour remercier tous les gens qu’on a croisé sur notre route jusque-là. Certains le savent, on était censées partir en Workaway, mais Big Brother en a décidé autrement. On s’est donc rabattues sur Couchsurfing. Ce site est fantastique, c’est du prêt de canapé pour le monde entier. Vous proposez un hébergement gratuit à tous les membres de la communauté (selon vos disponibilités bien sûr) et en échange, lors de vos voyages, vous pouvez dormir sur n’importe quel canapé. Le site est par là. C’est gratuit, il y a pas de réduction d’impôt mais vous contribuez gravement à la paix dans le monde en participant.

Le premier à nous avoir reçu était Ozan, un ingénieur du management à Uber. Il a ri quand on a parlé des affrontements Uber/Taxi en France, mais trouvait normal qu’on nous interdise le Workaway. Diplômé en Turquie, il adore San Francisco, son studio à 3000$/mois et tous les gadgets qu’il se fait livrer. Cependant Il se questionne parfois sur l’ultra-hiérarchie de son boulot, est parfois fatigué de ses horaires (8h/18h, les pauses repas, c’est bon pour les européens). On l’a entendu s’élever sur la dictature américaine de l’alcool (interdit avant 21 ans) , particulièrement à San Francisco (vente interdite après 2h du mat, y compris dans les boites).

On a ensuite été hébergées par une famille dans les environs de Santa Rosa. John et Sacha vivaient avec Rose, la mère de Sacha. On était pas seule, puisqu’ils accueillaient à l’année un lycéen chinois qui faisait une année d’échange, leur fille de 20 ans et une de ses copines qui étaient là pour une durée indéterminée. Ils étaient de fervents pratiquants de Workaway et accueillait également un volontaire de Nouvelle-Zélande, qui nourrissaient les poules et faisait le ménage. Ils étaient au courant que la pratique n’est pas autorisée pour les étrangers, mais trouvaient ça débile. Accueillir tout ce monde, pour eux c’était ça la culture américaine.  On a terminé la soirée devant un feu de bois avec de la bière locale, en discutant des programmes d’éducation spécialisée de Californie (et ça fait pas rêver…)

Les suivants, c’était un couple de Français émigrés, qui nous accueilli un peu par hasard. On s’est rencontrés dans une auberge de jeunesse, et on a échangé nos mails. Quelques jours plus tard, coincées à Berkeley, on a fait appel à eux, et ils ont répondus présents. Ils habitent en colocation dans une vieille maison malgré que Rémi travaille comme chercheur à l’Université. Avec ses deux semaines de vacances par an et les 30% d’impôts que lui prélève l’oncle Sam, Rémi ne regrette pas la France pour un sou. Il faut dire que son cadre de boulot est plutôt sympa, le cadre de vie également ! Ils nous ont également conviés à une Christmas party, où on a eu le plaisir de manger du bon fromage : il existe une boutique à Berkeley qui a une autorisation spéciale pour importer du fromage non pasteurisé (ce qui est carrément dangereux pour la santé !)

Juste après Anna et Rémi, nous avons bravé les autorités fédérales. Nous sommes allées chez Arek, l’un de ceux qui devai nous accueillir en Workaway. Arek est tout simplement hors du commun. Polonais, il est arrivé aux Usa il y a plus de 20 ans, a habité dans le sud de la France quelques temps pour d’obscures raisons, il passe beaucoup de temps au Brésil, où vivent son fils et sa mère. Il a acheté une maison dans les collines de Berkeley, à quelques mètres d’une faille sismique, là où l’on fait reconstruire les maisons chaque 50 ans. Et il a sa façon bien à lui de restaurer : il n’y a plus d’escalier ni d’isolation thermique, mais préfère s’occuper du jardin et des machines à laver pour le moment. Il savait plus ou moins l’illégalité de Workaway, mais ne songe pas une secondes à arrêter, il adore recevoir des gens du monde entier. D’ailleurs il accueillait en même temps Lewis, un Franco-anglais parti de chez lui avec son sac à dos il y a 8 mois. A la tête d’une auro-entreprise qui a fonctionné, au bout d’un an Lewis a pris l’agent qu’il aurait dû donner aux impôts, un sac à dos, a rendu son appart et sa vie et a pris la route. Après avoir construit des maisons dans les pays de l’Est il a trouvé un billet pas cher pour la Californie, alors il est venu. Il rentrait ce mois-ci, avant de repartir tourner un documentaire en Slovénie.

Arek a marqué notre dernière étape dans la baie de San Francisco, nous avons ensuite commencé à descendre vers Los Angeles. À Monterey, c’est Cayanne, étudiante à la Navy qui nous a acceuillies. Son nom a été choisi rapport au piment de Cayenne, elle vient d’Alaska et se désole de l’image que Sarah Palin donne de son État. Sa vie est rythmée par les études (elle doit valider un master 2 d’un truc scientifique, on a pas compris quoi), les fêtes (avec beaucoup de bonbons, de bières, et de Twister), le sport et les voyages. Elle  a tatoué sur la cuisse droite tous les drapeaux des pays où elle est allée. Son but avoué dans la vie : se faire plaisir. On a bien ri Durant cette étape.

Lindsey nous a accueilli à quelques kms de Santa Barbara. Curieux personnage que ce géant qui dépassait aisément les 100 kg et le mètre quatre-vingt. Il n’aimait pas les questions stupides, c’est sa maison vide et grande ouverte qui nous as accueilli. On a eu peu d’occasions de discuter, mais elles ont toutes été agréables, entre le soir ou on a brûlé « des trucs » dans le jardin et sa prise de médoc écrasé en poudre, la seule différence avec la Coke ? « It’s legal ! »

Le dernier couchsurfer, Randy n’accueille que des filles. On ne saura jamais pourquoi, mais on pense que c’est du à sa timidité. Il est populaire sur le site, et reçoit énormément de monde. Sa vie sociale est là, on a l’impression. On partage une soirée avec une Tchèque qui revient vivre chez lui une semaine le temps de trouver un appart. Son appart est rempli d’unités centrales neuves, « pour les bitcoins » nous dit-il (une monnaie internationale informatique, générée à chaque achat d’ordi). Le cors a baissé ces derniers temps, il attend qu’il remonte avant de se servir de sa fortune.

Tous ces gens sont aussi utiles à une connexion mondiale qu’Internet. On a adoré rire, discuter, manger pu cuisiner avec eux. On se sent redevables envers la communauté « CS » et en rentrant, on espère bien rendre tout ce qu’on a reçu. En attendant, vous aussi vous pouvez commencer l’aventure, vos canapés vous remercieront.

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Photo 1: grace a Ozan,le Golden Gate

Photo 2: grace à Sacha et John, la maison de Mr Stevenson

Photo 3: grace à Cayanne, les papillons monarques de Monterey

Photo 4: grace à Lindsey, l'architecture espagnole de Santa Barbara

Photo 5: grace à Randy, les canaux de Venice Beach

Et si vous voulez tous les voir ou les recontrer, cliquez sur le lien juste en dessous, y a plein d'autres gens sympas

Stay with Locals and Make Travel Friends | Couchsurfing

Couchsurfers share their homes, cities and lives in profound in meaningful ways, making travel anywhere in the world a truly social experience.

https://www.couchsurfing.com


 

21 décembre 2015

La magie des transports aux states

On se demandait si on allait écrire un article sur les divers moyens de transports rencontrés au cours de notre voyage en Californie. Prendre le train de Salinas à San Luis Obispo nous a décidé.

Histoire de ne pas vous (et nous) y perdre, on va vous les énumérer.

 

L’avion :

Le seul avion américain que nous avons pris était affrété par la Virgin America (la même Virgin qui possède sociétés de production, magasins, et même une navette spatiale !). Les stewards nous accueillent avec un grand sourire « hey, how are you today? ». On voudrait bien lui répondre : « Oh vous savez après 2h à l’immigration, une course, une bouteille de vin abandonnée et re une course, ça pourrait aller mieux ! ». On s’abstient et on se retrouve sur nos sièges. On se croirait dans une discothèque : les néons de la cabine sont rouges et violets ! C’est tout juste s’ ils clignotent ! Chaque siège est équipé d’un écran, sur lequel on peut trouver films, émissions TV (américaines of course), musique et … des pubs ! Les stewards nous proposent des tas de choses à la vente. On se demande si la formation chez Virgin n’est pas plus axée sur le commerce que l’aviation. D’ailleurs, les consignes de sécurité ne sont même plus données par les stewards. Une vidéo en chant, danse et théâtre nous les présente ! Un vrai show.

 

Le RER :

En soi, rien de réellement diffèrent avec la France. Ce sont des trains qui relient les villes en périphérie des capitales ou grosses villes (San Francisco, Los Angeles…). La seule chose qui change c’est le billet. En France, on choisit son point de départ et d’arrivée et on connaît le prix. On paye et on a son ticket. Aux Etats-Unis, on charge une somme d’argent sur un ticket. En fonction du trajet effectué, une somme est débitée. Reste plus qu’à savoir combien coute votre trajet… et là c’est plus dur. Deux solutions : chercher la carte avec une grille des tarifs dans un coin de la station ou demander à un agent en essayant de vous faire comprendre. A savoir : si vous n’avez pas suffisamment sur votre ticket, vous ne pourrez pas sortir de la station. Il faudra repasser par un guichet !

 

Le bus de ville :

Ils sont assez similaires à la France à deux exceptions prêtes. La première, il est difficile de trouver des cartes avec le tracé du trajet. Vous devez donc vous débrouiller simplement avec le nom des arrêts et le terminus pour direction… La deuxième, il n’y a pas de tickets papiers. A chaque montée dans le bus, il faut payer une somme en liquide (différente en fonction de la ville, si le trajet est rapide ou non…) dans une machine à côte du chauffeur. Le plus dur est donc de savoir combien coûte son ticket et ensuite d’avoir l’appoint car ils ne rendent pas la monnaie !

 

Le bus de ligne :

Nous avons pris un bus entre Santa Barbara et Los Angeles. A la différence de la France, on fait enregistrer ses bagages avant de monter dans le bus. Gare aux bagages trop gros ou trop lourds ! On vous imprime un « tag » (étiquette) à mettre sur votre sac au cas où il se perdrait en route. Pas bête ! Après, dans le bus c’est premier arrivé, premier servi pour les places ! C’est même indiqué sur les tickets ! Les bus sont confortables et on a même une prise pour brancher téléphone, portable ou autre accessoire électronique. Le Wifi est censé être présent à bord mais nous n’avons pas réussi à nous connecter (ce n’est pas faute d’avoir essayé !)

 

Le train :

Pour un pays comme les USA, le réseau ferré n’est pas très développé… les lignes ne sont pas nombreuses, leur fréquence non plus. Nous avons eu l’occasion de prendre deux fois le train. Après de nombreuses interrogations, on s’habitue et on s’en amuse.

Premier trajet : Arrivées à la gare, on cherche un panneau d’affichage pour voir l’état du train (un retard ?) et le numéro de quai. On n’en voit pas, même sur l’unique quai de la gare. Nos tickets n’ont pas de places attitrées. On se renseigne auprès du personnel de la gare qui nous indique très naturellement : allez à gauche en sortant du hall, allez au bout du quai et attendez que le train arrive. Un membre du personnel se chargera de vous. Arrivées sur le quai personne, à part quelques voyageurs l’air hagard. Rien, ni personne. On attend. Finalement le train arrive et seules les deux dernières portes s’ouvrent. Deux membres du personnel sortent et nous demandent nos tickets. Ils regardent un plan sur papier, cochant deux cases dessus et nous donnent nos places sur un bout de papier. On s’installe et on démarre. Le train se met en branle et avance tout doucement puis doucement puis accélère… un peu. Une autoroute jouxte la voie ferrée, on aperçoit des voitures nous dépasser. Elles roulent à une vitesse d’environ 65 miles par heure soit environ 110-115 kilomètres par heure. On se regarde et on rigole. On pense qu’il ira plus vite par la suite mais non ! Après une heure d’arrêt en pleine voie, inexpliquée, on arrive. Résultat : 5h pour faire 180kms… on nous avait bien dit que les états unis étaient plutôt branchés voiture.

Deuxième trajet : on sait comment arriver à une place. Là non plus, pas de panneaux en gare. Le train ne dépasse pas vraiment la vitesse du premier, mais on s’habitue à aller aussi lentement. Le train longe les côtes pacifiques, on a le temps de profiter du paysage ! Notre gare d’arrivée (Goleta, ville proche de Santa Barbara) est située en dehors du centre-ville, loin de tout. On cherche un bus, et comme il n’y a pas de plan du réseau , on préfère marcher en suivant notre carte.

En résumé, les trains ne sont pas bien rapides et ce n’est sûrement pas la solution la plus rapide ! Mais il y a une sorte de côté rétro à prendre le train : les locomotives crachent encore de la fumée et les wagons ne sont plus tout jeune.

 

La voiture fera l’objet d’un autre article tant il y a dire dessus : grosses voitures, boîtes automatiques, stationnement aléatoire, des stops et encore des stops !

19 décembre 2015

Allez, on vous met deux pages de photos pour le prix d'une

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Photo 1: Tour d'observation du palais de justice de Sant Barbara, avec un coucher de soleil en fond. On ne se refuse rien.

Photo 2: Arrivée à LA, deux heures après, on tombe sur un tournage en pleine rue. Pas d'acteur connu ni de cris hystériques, mais amusant quand même.

Photo 3: Quai de Venice Beach, garanti sans trucage ni ajout sur les lunettes (attends, on arrive dans le sud californien, faut sortir les risettes et les paillettes)

Photo 4: Lieu d'"invention" du skate, les riders du bol cotoient aujourd'hui les nombreux homeless. M'enfin, ya du soleil et du sable (et du bon niveau sur les rampes!)

Photo 5: Santa Monica, c'est la magie des salles de muscu en plein air. On s'est essayé à la corde, avec plus ou moins de succés (Aïe.)

19 décembre 2015

Ressurection du blog

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Photo 1: un magazin ne vendant que des piments à Monterey (dédicace, papa Pepex!)

Photo 2: observation des vagues au petit matin à Santa Barbara, dans l'attente de trouver une laverie

Photo 3: un ancien cinéma de Santa Barbara, on se croirait en Andalousie

Photo 4: il pleuvait, on a vu de la lumière, on est rentrées. C'était un concert d'orgue et c'était pas fantastique.

Photo 5: euh... on avait demandé une boisson, pas un seau ....

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